La culture

Cinq forts dominent l’île de Port-Cros : le fort du Moulin, le fort de l’Estissac, le fort de l’Eminence, le fort de la Vigie et, à l’extrême pointe est de l’île, le fort de Port-Man.
Du sommet du fort de l’Estissac, la vue sur le continent fait comprendre le rôle stratégique de l’île, sur la route maritime qui relie Marseille à Gênes et protège l’entrée de Toulon.
Au-delà de Rabelais, qui serait venu écrire son Tiers Livre à Port-Cros au milieu du XVI°siécle, la présence des écrivains sur l’île est attestée dès la fin du XIX° siècle.
Entre les deux guerres, l’île de Port-Cros et le littoral proche ont été le lieu de villégiature et de résidence d’hommes de lettres et de peintres renommés. Ce patrimoine littéraire et artistique trouve son originalité dans le travail collectif des écrivains et artistes qui ont séjourné au fort de la Vigie autour de l’écrivain Jean Paulhan (1884-1968) directeur de La Nouvelle Revue française.
Cinq forts dominent l’île de Port-Cros : le fort du Moulin, le fort de l’Estissac, le fort de l’Eminence, le fort de la Vigie et, à l’extrême pointe est de l’île, le fort de Port-Man.
Du sommet du fort de l’Estissac, la vue sur le continent fait comprendre le rôle stratégique de l’île, sur la route maritime qui relie Marseille à Gênes et protège l’entrée de Toulon.


Au-delà de Rabelais, qui serait venu écrire son Tiers Livre à Port-Cros au milieu du XVI°siécle, la présence des écrivains sur l’île est attestée dès la fin du XIX° siècle.
Entre les deux guerres, l’île de Port-Cros et le littoral proche ont été le lieu de villégiature et de résidence d’hommes de lettres et de peintres renommés. Ce patrimoine littéraire et artistique trouve son originalité dans le travail collectif des écrivains et artistes qui ont séjourné au fort de la Vigie autour de l’écrivain Jean Paulhan (1884-1968) directeur de La Nouvelle Revue française.